Danny Dickinson

Cette section présente les membres du club de karaté Shotokan de Sainte-Foy.
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  Gilles Périard Bernard Drolet Omer Devilao Marc Brissette  
  Danny Dickinson Willy Tiakoh Stephen J. Davids Thomas De Freyman  
  Jean Boisvert Denis Pelletier  Anne Savoie Louise Noël  
  Gilles Richard Van Diep Doan Louis Rioux Lynda Goulet  
  Daniel Asselin Zakaria Sorgho Josée Charette Mélany Rosa  
  Dany Aupin Guy Malenfant Pierre Fortier   Sylvia Geeurickx  
  Marcel Émond Priscila De Araujo Lima Jordan Mayer Matheus Duarte  
  Zoé Lagroix-Gauthier Charles Madet Maxime Bélanger René Huot  
  Nofy Andriamanarivo Mélanie Pratte    
           
  Line Richard François L'Italien Antoine L'Italien Rivonjaka Aina  
  Ainahenintsoa Antso Kristoffer Estanol Juliette Émond Vénérée Randrianarisoa  
  Servane Roupnel Andry Razafintsalama Milasoa Razafintsalama Dominick Richard St-Pierre  
  Isabelle Desbiens Roxana-Elena Constantin Christian Luis Morales Paey Luc Sénécal  
  Victor Marinoiu Donovan Richard St-Pierre    
           
  Kerim Trtak Marie-Pier D. Smith    
           

  ceinture grade année/pratique âge occupation lieu de résidence
Danny Dickinson Noire 3e dan 35 ans 55 ans Technicien, ingénierie de production Val Bélair

autobiographie: Mon premier contact avec les arts martiaux s’est fait dans mon petit village du Bas du Fleuve, à Dégelis, à l’âge de 16 ans. J’ai débuté avec le Tae Kwon Do et j’en ai fait juste assez longtemps pour obtenir le grade de ceinture orange, grade que l’on obtient après 6 mois d’entraînement. Afin de poursuivre mes études, j’ai quitté mon village et du même coup le club de Tae Kwon Do et je me suis retrouvé à Rivière-du-Loup. Là-bas, il y avait aussi un club de Tae Kwon Do, mais pas de karaté traditionnel. Sans trop savoir pourquoi, je désirais faire du karaté traditionnel. J’ai donc concentré mes énergies à mes études et mis de côté les arts martiaux.

À mon arrivée au cégep de Limoilou, en septembre 1987, j’ai constaté qu’il y avait des cours de karaté. J’ai donc choisi le karaté comme cours d’éducation physique. De plus, il y avait un club de karaté du style Shotokan qui opérait le soir. Je m’y suis inscrit par la même occasion, histoire de rattraper le temps perdu. C’est à ces cours que j’ai attrapé la piqûre ou la maladie du karaté. Durant ma période d’études au cégep de Limoilou, j’ai aussi touché à d’autres arts martiaux, tels que le judo et le jiu-jitsu. Cependant, c’était le karaté qui m’intéressait le plus.

En raison de quelques blessures mineures et aussi à cause d’un conflit d’horaire entre le travail et les cours de karaté, j’ai suspendu mon entraînement durant deux années. J’ai finalement repris l’entraînement au club de karaté Shotokan du cégep de Sainte-Foy en septembre 1991, comme ceinture verte un peu rouillée.

En 1997, je me suis présenté à mon examen de shodan, ceinture noire, avec comme résultat un échec. Un peu dur pour l’ego, il faut l’avouer. Je me suis repris en 1998 et cette fois fut la bonne. En 2002, j’ai testé pour mon nidan, deuxième dan, et ce fut dans le sac du premier coup. Et puis, en 2010, même scénario pour l’obtention du grade de sandan, troisième dan. Et pourquoi ne pas avoir comme objectif de me présenter à un examen pour obtenir le grade de yondan, quatrième dan, d’ici quelques années. Pour l’instant, mon but est de continuer la pratique afin d’améliorer mon niveau technique, d’apprendre davantage dans cet art martial et surtout, d’avoir toujours autant de plaisir à m’entraîner. Je dois dire que la pratique du karaté m’apporte une forme physique remarquable, une meilleure souplesse, un bon équilibre, une meilleure capacité de concentration et une plus grande confiance en moi.

Depuis le tout début, je m’entraîne avec le même instructeur Gilles Périard. Ce dernier qui m’a aidé à progresser dans le karaté, est aussi devenu un ami. De mon côté, j’enseigne aussi le karaté aux débutants et/ou aux intermédiaires depuis 1998. Je peux dire que l’enseignement du karaté me fait apprendre autant que je peux en montrer.

Danny Dickinson
Sandan AKJQ