Gilles Richard
Cette section présente les membres du club de karaté Shotokan de Sainte-Foy. Cliquez sur l'un ou l'autre des noms pour consulter les fiches personnelles... . |
ceinture | grade | année/pratique | âge | occupation | lieu de résidence | ||
Gilles Richard | Noire | 2e dan | 52 ans | 78 ans | Retraité | Charlesbourg |
autobiographie: Mon goût pour le sport a débuté lors de mon adolescence, alors que je pratiquais l’haltérophilie dans le sous-sol de la résidence d’un voisin. Dès l’âge de 17ans, j’ai pris l’entraînement très au sérieux. Même si j’étais très petit, j’étais parvenu à soulever des charges assez respectables pour mon faible gabarit. À l’époque, je mesurais 5 pieds 2 pouces et pesais 117 livres mouillé. Par la suite, j’ai été attiré par le judo. J’ai alors suivi des cours au dojo de la rue Sainte-Claire dans le quartier Saint-Jean-Baptiste.
Mes premiers contacts avec le karaté se situent à l’été 1967, au Grand Séminaire du campus de l’Université Laval. Celui qui enseignait à ce moment là le faisait avec un tel zèle que, pour s’endurcir, il se couchait sur le plancher la nuit pour dormir.
Cependant, tout a vraiment débuté en 1972 avec Jean Hébert, toujours à l’Université Laval. Le style de cet instructeur était assez martial merci. Une attention continue était nécessaire tout au long des cours, faute de quoi des rappels étaient signifiés fréquemment, voire même, physiquement «mes mollets s’en souviennent fort bien». J’en ai même perdu des nuits de sommeil complètes pendant quelques années!!!
Par la suite, j’ai fait du karaté avec Roger Massicotte dans plusieurs dojos du Vieux-Québec: celui de la rue Sainte-Claire, de la rue Sainte-Agnès, celui de la rue Saint-Vallier, au Cégep de Limoilou et finalement, au Cégep de Sainte-Foy avec Gilles Périard. Je m’entraîne aussi avec un groupe de « Old Timers » au Centre de loisirs Montcalm, les vendredi midi.
Ça fait une quarantaine d’années que je pratique cet art martial. Le karaté fait donc partie intégrante de ma vie depuis plusieurs années. Il le sera jusqu’à la fin, d’une façon ou d’une autre, pour les bienfaits qu’il m’apporte.
Gilles Richard
Nidan AKJQ